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Dimanche.
18h53, @home/
Quelques gouttes de pluie ruissellent sur la fenêtre.
La semaine a été ponctuée par deux publications d’images issues des séries Wallpapers et Glitch Nodes : la première dans Legion magazine et la seconde dans This isn’t happiness. Il y en aura d’autres…

web publication

En juin 2014, j’ai eu l’occasion de collaborer au second volume de la très belle publication Nuits et Noirs, de Max Kuiper, en proposant une image qui allait donner naissance à la série Glitch Nodes.

nuitsetnoirs2

Un nouvel opus est en préparation, auquel je participe également, avec une image spécialement conçue pour ce projet. Le thème est celui du langage, s’inspirant de la citation d’Antonin Artaud : « J’ajoute au langage parlé un autre langage et j’essaie de rendre sa vieille efficacité magique, son efficacité envoûtante, intégrale au langage de la parole dont on a oublié les mystérieuses possibilités. »

print publications

J’attends avec impatience la sortie de la revue (graphique & littéraire) La  Piscine et la publication de Jack•Lighting chez Riso-Presto, un projet de co-création avec Jérôme Benitta. Je vous en reparle au plus vite.

slasher aera

reading : Hellblazer #75 / La voix du feu d’Alan Moore
listening : Movement Building Vol.2 de Gabriel Saloman / Asperities de Julia Kent / Hotel Neon
watching : Réalité de Quentin Dupieux
crawling on netz : Sick Future / Nicolas Nemiri’s sketchbook

 

 

David Bowie (1947 – 2016)

La mort de Bowie me rend très-très triste.
Aujourd’hui, nous avons perdu une icône céleste, un artiste brillant, un chanteur protéiforme.
Maintenant, Bowie est une étoile noire : il n’est plus là, nous ne pouvons le voir, mais les scintillements qu’il émet nous arrivent encore.

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David Bowie pendant la séance photo pour la pochette de Lodger (1979)

Même si évidemment, je connaissais ses albums et ses chansons,  je suis devenu fasciné par Bowie en 1995, lors de la sortie de 1. Outside. Ce LP constituait la première d’une des cinq parties d’une aventure musicale qui ne verra jamais le jour.  Alternant chansons et interludes parlés, cet album était une sorte de cut-up musical, dont la partie biographique/fictive était propre à Bowie, propulsée par Brian Eno. J’ai écouté et réécouté 1. Outside, un nombre incalculable de fois.

La suite de ce concept devait s’intituler 2. Contamination et 3. Afrikaan…

Étrangement, si je devais citer un album de David Bowie, je sélectionnerais celui-ci.

Ce n’est pas forcement le plus significatif de sa discographie, ce n’est pas celui qui a le plus de succès, mais c’est celui pour qui j’ai le plus « d’intimité musicale » (pour reprendre les termes de Damien, un de mes proches amis).

so long 2015…

Pour cette fin d’année 2015, pas de bilan, pas de récap’, pas de top, pas de best-of…
Juste une forte envie de se débarrasser et d’évacuer cette année, pour voir si 2016 pourrait être mieux.

BBBB-
› photo by me

London, soon…

Hello London

Can’t wait…
› photo : Maria Farrelly