En lisant tardivement Histoire Zero (car publié en 2013), j’ai remarqué que William Gibson faisait allusion à la librairie Le regard Moderne dans le chapitre numéroté 30 et intitulé Vision :
Il aperçut une librairie à l’aspect magique, bourrée à craquer de montagnes de livres dignes du bureau d’un savant fou dans un film, et changea de cap, soudain impatient de s’évader dans les textes. Mais il vit alors qu’il s’agissait là non seulement de bandes dessinées, incapables de lui procurer sa dose de mots enchaînés, mais de surcroît, en langue française. (…) Il ressentait un puissant désir de s’y enfouir. De se frayer un chemin entre les piles. D’en déplacer quelques-unes derrière lui et d’espérer effacer son chemin afin qu’on ne le retrouve jamais.